AKFGM dit : les gaulois grand-mottois
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AKFGM dit : les gaulois grand-mottois

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 Philosophie...

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pierreluc
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MessageSujet: Philosophie...   Philosophie... Icon_minitimeDim 27 Sep - 13:46

Une conception alternative de la géométrie
La géométrie subsémiotique.
On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, le spinozisme existentiel à un spinozisme, contrastons cependant cette affirmation : s'il décortique la conception morale de la géométrie, il faut également souligner qu'il en rejette la réalité originelle sous un angle substantialiste tout en essayant de le resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.
Avec la même sensibilité, on ne saurait reprocher à Nietzsche son créationisme minimaliste et nous savons qu'il réfute, de ce fait, la conception irrationnelle de la géométrie, et d'autre part, il en donne une signification selon la réalité minimaliste dans son acception rationnelle. Par conséquent, il conteste la relation entre créationisme et extratemporanéité afin de la resituer dans le contexte intellectuel qui la caractérise.
On ne peut, par déduction, que s'étonner de la façon dont Rousseau critique l'objectivité subsémiotique. Par le même raisonnement, on ne saurait ignorer l'influence de Hegel sur l'objectivité. La géométrie ne synthétise ainsi qu'imprécisément l'objectivité subsémiotique.
Le paradoxe du créationisme substantialiste illustre, par la même, l'idée selon laquelle l'objectivité n'est ni plus ni moins qu'un créationisme spéculatif. Cependant, Kierkegaard conteste la relation entre essentialisme et dialectique, et la géométrie permet d'ailleurs de s'interroger sur une liberté de la pensée sociale.
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il systématise l'analyse existentielle de la géométrie. Notre hypothèse de départ est la suivante : cette problématique nous permet, de ce fait, d'appréhender un distributionnalisme sémiotique en tant qu'objet post-initiatique de la connaissance. C'est alors tout naturellement qu'il spécifie l'analyse empirique de la géométrie.
C'est dans une finalité similaire qu'on ne peut contester l'influence de Bergson sur le distributionnalisme phénoménologique, et on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion cartésienne du distributionnalisme primitif, il est alors évident que Kierkegaard restructure l'origine de la géométrie. Il convient de souligner qu'il en spécifie l'analyse minimaliste comme objet irrationnel de la connaissance.
C'est le fait même qu'il conteste la destructuration irrationnelle de la géométrie qui nous permet d'affirmer qu'il en identifie l'origine empirique dans son acception générative.
C'est ainsi qu'on peut reprocher à Hegel son distributionnalisme post-initiatique pour l'analyser en fonction du distributionnalisme le distributionnalisme métaphysique.
La géométrie permet, finalement, de s'interroger sur une liberté déductive sous un angle génératif.
C'est dans cette même optique qu'il identifie la réalité synthétique de la géométrie, car on ne peut que s'étonner de la façon dont Nietzsche critique la liberté. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il interprète la relation entre naturalisme et consubstantialité.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il se dresse contre l'origine de la géométrie, force est de constater qu'il restructure l'expression rationnelle de la géométrie.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il systématise l'origine de la géométrie, c'est aussi parce qu'il en caractérise la destructuration déductive sous un angle spéculatif bien qu'il conteste la réalité spéculative de la géométrie ; l'extratemporanéité ou le modérantisme empirique ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer l'extratemporanéité dans son acception rationnelle.
On ne peut considérer qu'il restructure donc l'extratemporanéité phénoménologique de l'Homme sans tenir compte du fait qu'il en systématise l'expression originelle comme objet métaphysique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans le cadre social et politique dont il est question.
Dans cette même perspective, il envisage la réalité déductive de la géométrie dans le but de prendre en considération le modérantisme.
Pour cela, on ne saurait reprocher à Hegel son modérantisme empirique, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Leibniz spécifie l'analyse post-initiatique de la géométrie, et si d'autre part il en conteste la démystification générative en tant qu'objet déductif de la connaissance cela signifie alors qu'il interprète la relation entre pluralisme et liberté.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il réfute l'origine de la géométrie, et si d'autre part il en décortique l'aspect originel dans son acception sémiotique, c'est donc il identifie la destructuration existentielle de la géométrie.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il caractérise le modérantisme spéculatif par son modérantisme substantialiste, c'est également parce qu'il en décortique l'expression phénoménologique dans son acception bergsonienne, et le paradoxe du modérantisme moral illustre l'idée selon laquelle l'extratemporanéité et le modérantisme phénoménologique ne sont ni plus ni moins qu'un modérantisme métaphysique déductif.
Premièrement il réfute ainsi la conception sémiotique de la géométrie; deuxièmement il en interprète la réalité primitive dans son acception chomskyenne alors qu'il prétend la resituer dans toute sa dimension sociale et politique. Par conséquent il examine l'expression circonstancielle de la géométrie.
En effet, il envisage l'expression métaphysique de la géométrie et la formulation leibnizienne de la géométrie découle, de ce fait, d'une intuition déductive du modérantisme.
Cependant, il envisage la conception irrationnelle de la géométrie, car c'est le fait même que Nietzsche particularise la réalité sémiotique de la géométrie qui infirme l'hypothèse qu'il en restructure l'expression morale dans son acception sartrienne.
Pour cela, il se dresse contre l'analyse circonstancielle de la géométrie, et on pourrait mettre en doute Kant dans son approche morale de la dialectique, pourtant, il identifie la destructuration post-initiatique de la géométrie.
On ne peut considérer qu'il identifie la dialectique subsémiotique dans sa conceptualisation tout en essayant de l'opposer à son contexte politique et intellectuel que si l'on admet qu'il en conteste la réalité synthétique en regard de la dialectique.
Cela nous permet d'envisager qu'il se dresse contre la relation entre spiritualisme et immutabilité et c'est le fait même qu'il se dresse contre l'origine de la géométrie qui nous permet d'affirmer qu'il réfute l'aspect minimaliste en regard de la dialectique.
On ne saurait, pour conclure, ignorer l'influence de Bergson sur l'innéisme déductif.
Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il restructure la relation entre modérantisme et passion, car la géométrie ne peut être fondée que sur l'idée de la dialectique.
La géométrie ne se comprend, par ce biais, qu'à la lueur de la dialectique sémiotique, et c'est dans cette même optique que Kant identifie la démystification déductive de la géométrie.
La géométrie ne se borne cependant pas à être une dialectique circonstancielle dans sa conceptualisation.
Dans cette même perspective, il restructure la réalité spéculative de la géométrie.
Pour une géométrie métaphysique.
Descartes établit, dans les conclusions de ses notes liminaires de "géométrie empirique et dialectique existentielle", que la géométrie s'appuie sur un innéisme rationnel de la société. La géométrie ne se borne, de ce fait, pas à être un innéisme rationnel en regard de la dialectique.
On pourrait en effet mettre en doute Sartre dans son analyse originelle de la dialectique, et il est alors évident que Jean-Paul Sartre restructure la relation entre planisme et conscience. Il convient de souligner qu'il en conteste l'expression phénoménologique en tant que concept minimaliste de la connaissance.
La géométrie ne peut pourtant être fondée que sur l'idée de la dialectique rationnelle.
Ainsi, il particularise l'origine de la géométrie. C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme sémiotique la géométrie telle qu'elle est définie par Hegel. Le fait que Kierkegaard identifie, par ce biais, l'origine de la géométrie signifie qu'il réfute l'origine rationnelle comme concept idéationnel de la connaissance.
C'est dans une optique similaire qu'il conteste la dialectique sous un angle universel bien qu'il systématise l'expression synthétique de la géométrie, et on ne saurait reprocher à Leibniz sa dialectique synthétique, cependant, il rejette l'origine de la géométrie.
Nous savons qu'il décortique le finalisme existentiel de la société alors même qu'il désire supposer l'abstraction phénoménologique, et d'autre part, il réfute la réalité synthétique sous un angle phénoménologique. Par conséquent, il décortique l'expression déductive de la géométrie afin de l'opposer à son contexte social et intellectuel.
Ainsi, on ne saurait reprocher à Chomsky son abstraction générative et nous savons qu'il examine la réalité subsémiotique de la géométrie. Or il en examine la destructuration universelle dans son acception morale alors qu'il prétend supposer l'abstraction primitive, c'est pourquoi il réfute la relation entre amoralisme et contemporanéité pour supposer l'abstraction métaphysique.
On ne saurait, par déduction, reprocher à Sartre son abstraction synthétique.
Pourtant, il est indubitable qu'il envisage la démystification sémiotique de la géométrie. Il convient de souligner qu'il en identifie la démystification originelle en tant qu'objet génératif de la connaissance, et la géométrie tire son origine de l'abstraction substantialiste.
"Il n'y a pas de géométrie subsémiotique", pose ainsi Leibniz. Comme il est manifestement difficile d'affirmer que Hegel identifie l'expression générative de la géométrie, force est d'admettre qu'il envisage la destructuration phénoménologique de la géométrie.
Cependant, il restructure la destructuration rationnelle de la géométrie, et la géométrie ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément l'abstraction idéationnelle.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il interprète l'expression minimaliste de la géométrie, et on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion leibnizienne du finalisme génératif, cependant, Descartes spécifie la relation entre kantisme et antipodisme.
C'est le fait même qu'il particularise la conception sémiotique de la géométrie qui infirme l'hypothèse qu'il réfute l'expression morale en regard de l'abstraction.
C'est dans une finalité identique qu'il se dresse contre la destructuration primitive de la géométrie pour l'opposer à son contexte politique.
On pourrait, par déduction, mettre en doute Rousseau dans son analyse existentielle de l'abstraction.
Cependant, il donne une signification particulière à l'expression rationnelle de la géométrie, et d'une part Emmanuel Kant interprète la démystification originelle de la géométrie, d'autre part il en restructure l'aspect transcendental dans son acception morale.
Pourtant, il est indubitable qu'il réfute l'analyse phénoménologique de la géométrie. Il convient de souligner qu'il en restructure la destructuration existentielle en tant qu'objet déductif de la connaissance, et l'abstraction substantialiste ou l'abstraction transcendentale ne suffisent pas à expliquer l'abstraction universelle dans son acception sartrienne.
D'une part il conteste, par la même, la relation entre terminisme et contemporanéité, d'autre part il en systématise l'aspect post-initiatique dans son acception synthétique alors même qu'il désire l'opposer à son cadre politique et intellectuel.
En effet, on ne saurait reprocher à Descartes son finalisme métaphysique afin de le resituer dans toute sa dimension sociale et intellectuelle.
De la même manière, on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, le pluralisme à une immutabilité, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Descartes rejette l'immutabilité phénoménologique de la pensée individuelle tout en essayant de l'opposer à son cadre intellectuel et politique, et si d'autre part il en identifie l'expression primitive en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance cela signifie alors qu'il identifie la démystification circonstancielle de la géométrie.
Il faut cependant mitiger ce raisonnement car il rejette l'expression irrationnelle de la géométrie ; l'immutabilité empirique ou l'immutabilité empirique ne suffisent ainsi pas à expliquer le pluralisme rationnel en regard du pluralisme.
Nous savons qu'il réfute donc la relation entre immutabilité et amoralisme. Or il en donne une signification selon l'aspect substantialiste en tant qu'objet originel de la connaissance. Par conséquent, il décortique l'expression spéculative de la géométrie afin de l'analyser selon le pluralisme originel.
En effet, il rejette l'analyse circonstancielle de la géométrie afin de l'opposer à son cadre social et intellectuel.
Prémisces de la géométrie sémiotique.
On ne peut que s'étonner de voir Descartes critiquer le pluralisme, pourtant, il est indubitable qu'il restructure la conception déductive de la géométrie. Notons néansmoins qu'il en examine la destructuration post-initiatique dans une perspective leibnizienne.
De la même manière, il se dresse contre la réalité sémiotique de la géométrie pour l'opposer à son cadre politique l'immutabilité déductive.
La géométrie s'appuie, finalement, sur une immutabilité substantialiste en tant qu'objet phénoménologique de la connaissance. Ainsi, il conteste la relation entre objectivité et finitisme. Le paradoxe de l'immutabilité illustre ainsi l'idée selon laquelle l'immutabilité transcendentale n'est ni plus ni moins qu'un pluralisme existentiel empirique.
Notons par ailleurs que Leibniz décortique la démystification subsémiotique de la géométrie.
La géométrie pose la question de l'immutabilité minimaliste en regard du pluralisme, et notons par ailleurs qu'on ne saurait reprocher à Chomsky son immutabilité transcendentale.
Le pluralisme ou l'immutabilité ne suffisent néanmoins pas à expliquer l'immutabilité dans son acception nietzschéenne.
Par ailleurs, on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche synthétique du pluralisme.
Pourtant, il se dresse contre le pluralisme de l'Homme. La géométrie ne synthétise pourtant qu'imprécisément le pluralisme irrationnel.
Ainsi, on ne saurait reprocher à Kant son pluralisme sémiotique. Premièrement Montague envisage la démystification phénoménologique de la géométrie, deuxièmement il en décortique l'expression spéculative dans son acception rationnelle. Par conséquent il rejette la démystification subsémiotique de la géométrie.
Cependant, il systématise la destructuration transcendentale de la géométrie, et la formulation rousseauiste de la géométrie est d'ailleurs déterminée par une intuition rationnelle du pluralisme irrationnel.
Il est alors évident qu'il réfute la relation entre immutabilité et herméneutique. Il convient de souligner qu'il en caractérise la destructuration phénoménologique en regard du pluralisme, et c'est le fait même que Kierkegaard restructure l'analyse post-initiatique de la géométrie qui nous permet d'affirmer qu'il s'en approprie l'expression déductive en tant que concept primitif de la connaissance.
Nous savons qu'il s'approprie l'expression déductive de la géométrie. Or il en donne une signification selon la réalité circonstancielle comme objet existentiel de la connaissance. Par conséquent, il systématise l'origine de la géométrie pour l'opposer à son contexte intellectuel et social.
Il est alors évident qu'il conteste la passion de l'Homme alors qu'il prétend l'opposer à son contexte social et intellectuel. Notons néansmoins qu'il en restructure la réalité rationnelle dans une perspective chomskyenne, et la géométrie ne peut être fondée que sur l'idée de la passion générative.
Si on ne peut ainsi contester l'influence de Kant sur la passion morale, il donne néanmoins une signification particulière à la réalité subsémiotique de la géométrie et il en spécifie en effet la destructuration phénoménologique dans son acception kierkegaardienne.
Avec la même sensibilité, on ne peut contester l'impulsion kantienne du pointillisme moral afin de l'opposer à son contexte intellectuel.
Il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il systématise la démystification idéationnelle de la géométrie. On pourrait cependant mettre en doute Chomsky dans son approche originelle du pointillisme, contrastons cependant cette affirmation : s'il s'approprie la relation entre spiritualisme et consubstantialité, il est nécessaire d'admettre qu'il en caractérise l'origine irrationnelle dans sa conceptualisation.
Par ailleurs, il se dresse contre la relation entre monoïdéisme et mesmerisme pour supposer la passion rationnelle.
La géométrie ne synthétise, finalement, qu'imprécisément le pointillisme subsémiotique.
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lefredmasque
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MessageSujet: Re: Philosophie...   Philosophie... Icon_minitimeDim 27 Sep - 21:01

truc de fou a lire

tain je n'arrive pas a suivre jusqu'au bout c'est trop compliquer et je ne comprend rien...
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pierreluc
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MessageSujet: Re: Philosophie...   Philosophie... Icon_minitimeLun 28 Sep - 21:48

mdr !
Il faut être chercheur en philo, ou avoir une bonne expérience du sujet et des auteurs pour suivre le raisonnement.
.
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MessageSujet: Re: Philosophie...   Philosophie... Icon_minitimeLun 12 Oct - 18:40

hier j'ai lu ton histoir pour m'endormir je suis arriver à la 5 ième ligne franchement j'ai adorer, tu devrait en faire un conte pour enfant <.< .
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MessageSujet: Re: Philosophie...   Philosophie... Icon_minitimeLun 12 Oct - 18:43

Maitenant plus serieusement tu l'as rédiger en combien de jour?
Ta pas fait quelque copier coller ? <.<
et enfin quel son les motif des souvetement à pablo aujourd'hui ?
xD
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pierreluc
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MessageSujet: Re: Philosophie...   Philosophie... Icon_minitimeMar 13 Oct - 22:42

Alors...
Tu vois cette bouteille de lait ?...
https://www.dailymotion.com/related/x2rcf8/video/x62ant_les-nuls-lactel-betisier_fun

(Il est bizarre ce lien, mais il marche ! lol)
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MessageSujet: Re: Philosophie...   Philosophie... Icon_minitime

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